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À la une

Les bulles sont omniprésentes dans de nombreuses applications de recherche, allant de l'imagerie par ultrasons à la compréhension des éruptions volcaniques. Elles sont également d'excellents résonateurs acoustiques, dont la taille est très petite devant la longueur d'onde du son qu'elles émettent. Ces ondes sonores émises à résonance contiennent des informations sur les propriétés mécaniques des matériaux situés au voisinage immédiat de la bulle. Dans une récente publication dans Nature Communications, une collaboration entre les équipes Optima et Move du LIPhy propose d'exploiter ce phénomène pour imager un échantillon en déplaçant une bulle au voisinage de cet échantillon.

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En combinant une approche par modélisation numérique et des expérimentations en biologie à la fois structurale et cellulaire, le projet APERTuRe a permis de mieux comprendre la dynamique d’un réseau de protéines dans le cytoplasme de nos cellules. Des résultats qui pourraient être utiles pour développer de nouveaux médicaments.

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Une collaboration franco-américaine a démontré que dans le réseau microcirculatoire, une partie des globules rouges peut emprunter des chemins inattendus pour se rendre d'un point à l'autre. Cette observation expérimentale devrait conduire à une modélisation plus précise des mécanismes d'oxygénation mais aussi d'élimination des résidus de l'activité cellulaire au sein du réseau sanguin.

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Dans un article publié dans Nature Microbiology, des scientifiques ont décrypté la stratégie de glissement rapide du microbe parasite Toxoplasma gondii au sein des tissus de l’organisme hôte. Ils montrent comment le parasite arrive à s’accrocher suffisamment sans risquer de rester coller à son substrat afin de glisser efficacement. En expliquant comment un système minimal d’adhésion est capable de générer un mouvement rapide au sein de microenvironnements complexes ils ouvrent des perspectives pour d’autres modèles d’interactions cellulaires.

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A travers six exposés, par Laura Schaedel (Saarbrücken), Atef Asnacios, Marc Durand, Jonathan Fouchard (Paris), Angélique Stéphanou et Philippe Marmottant (Grenoble), nous aborderons la dynamique de la matière vivante en allant de l'échelle moléculaire du cytosquelette à celle d'un organisme entier, dans des systèmes tels que les tumeurs ou les plantes, par des approches expérimentales et numériques.

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Emmanuel Siéfert, qui a rejoint le LIPhy cette année en tant que chargé de recherche au CNRS, vient de recevoir une bourse « Starting » du Conseil européen de la recherche (ERC), qui finance de manière importante des projets de jeunes chercheurs et chercheuses.

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Equipe_BioPi

Un pancréas artificiel

Le 2 juillet 2024

Un nouveau dispositif implantable de bioréacteur pancréatique a été mis au point par l'équipe SyNaBi du laboratoire TIMC (Recherche Translationnelle et Innovation en Médecine et Complexité), en collaboration avec le CHU Grenoble Alpes et les laboratoires LIPhy (impression 3D) et LBFA (Laboratoire de Bioénergétique Fondamentale et Appliquée).

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matostheque

Matosthèque

Le 2 juillet 2024

La matosthèque est un outil de réservation en ligne de petits équipements. Les propriétaires de matériels ajoutent sur la base de données les caractéristiques et la disponibilité de matériels. Les utilisateurs peuvent alors faire une requête d’emprunt, en spécifiant les dates.

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Atelier, Conférence

Mouvements collectifs des animaux et des robots

Du 27 mai 2024 au 31 mai 2024

L'étude et la compréhension du mouvement collectif des animaux est un sujet interdisciplinaire qui attire depuis longtemps l'attention de nombreux scientifiques (en physique statistique, en hydrodynamique, en éthologie, en biologie, en sociologie, et maintenant même dans le domaine très émergent de la robotique).

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Une équipe internationale a montré que l’instabilité de flambage d’une couche de lipides déposée à la surface d’une microbulle produit une force de propulsion pouvant conduire à des déplacements de l’ordre du m/s, une découverte prometteuse pour des applications dans le domaine médical.

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En hydrodynamique, un phénomène de portance apparaît lorsqu'une force agit sur un objet perpendiculairement à son mouvement initial. Dans la vie de tous les jours, nous connaissons bien cet effet qui permet par exemple aux avions de décoller ou aux ballons de football de suivre des trajectoires courbes.

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tokamak

Parution

Un « Tokamak » acoustique

Le 13 octobre 2023

Grâce à des cages imprimées en 3D nous avions montré que l’on peut stabiliser des bulles dans l’eau sous n’importe quelle forme: cubes, sphères, et même anneaux. Ici nous imprimons un grand nombre bulles anneaux de 2cm, disposée sur un grand cercle pour obtenir un Tokamak acoustique.

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Le premier kaléidoscope a été réalisé au début des années 1800 par Sir David Brewster, qui fut séduit par la beauté des motifs générés, à la fois symétriques et très complexes. Dans une récente étude menée au sein du Laboratoire interdisciplinaire de physique de Grenoble (LIPhy - CNRS/UGA) et publiée dans PNAS, des scientifiques démontrent que l'effet kaléidoscopique, au-delà de sa fonction artistique, peut être utilement exploité par les scientifiques travaillant avec des fibres optiques.

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miai

Communiqué

Chaire junior MIAI

Le 31 mai 2023

Misaki Ozawa de l'équipe PSM du LIPhy a obtenu une chaire junior à l'Institut multidisciplinaire d'intelligence artificielle (MIAI), qui inclut le financement de trois ans de postdoc.

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Des chercheurs ont montré que la déformabilité des globules rouges est un ingrédient essentiel pour assurer leur diffusion homogène dans le réseau terminal des vaisseaux sanguins, quand le diamètre de ceux-ci est à peine plus grand que la taille des globules.

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folded

Parution

Mort cellulaire et dynamique du protéome

Le 16 janvier 2023

Les organismes se sont adaptés pour prospérer dans une plage de températures étroite et bien définie. Les humains sont à l'aise dans des conditions ambiantes, mais d'autres organismes peuvent supporter des températures beaucoup plus élevées, même au-delà de la température d'ébullition de l'eau. La façon dont la température tue une cellule n'est pas complètement comprise, mais elle est cruciale à bien des égards. Par exemple, pour comprendre comment la vie a évolué sur notre planète, et comment elle peut potentiellement se développer ailleurs. Nous devons également tenir compte de la façon dont des changements de température, même minimes, dans l'environnement en raison des problèmes climatiques peuvent déséquilibrer la répartition actuelle des organismes vivants. Enfin, comment les approches thérapeutiques peuvent être optimisées pour tuer les cellules cancéreuses en augmentant localement la température des cellules.

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Publié le 3 juillet 2024

Mis à jour le 23 août 2024